Aujourd’hui, les membres de l’AIA Canada se sont entretenus avec des député et des figures politiques clés de partout au pays afin de plaider pour le droit à la réparation, l’importance du projet de loi C-244 comme tremplin et la nécessité d’une mesure législative distincte pour l’industrie de l’entretien et de la réparation automobile.
Nous avons demandé, et continuerons de demander aux deputés d’accorder aux consommatrices et aux consommateurs canadiens le pouvoir de choisir lorsqu’il s’agit de l’entretien et de la réparation automobile.
Le problème lié au droit à la réparation
Lorsqu’il s’agit d’entretenir et de réparer les véhicules modernes, l’accès aux données de diagnostic du véhicule est vital. Les constructeurs automobiles contrôlent ces données, y compris la quantité qui est mise à disposition et qui y a accès — y compris les ateliers de réparation automobile. Sans un accès complet et égal à ces données, les ateliers de réparation automobile indépendants ne peuvent pas entretenir les véhicules.
Par conséquent, les consommatrices et les consommateurs canadiens sont confrontés à moins de choix quant à l’endroit où ils se rendent pour effectuer des réparations automobiles et peuvent être limités uniquement au concessionnaire. Le droit à la réparation offre ce choix aux consommatrices et aux consommateurs et permet un accès continu à un service et à des réparations essentielles, fiables et abordables.
Comment aider
Nous encourageons tous les membres de l’AIA Canada à soutenir le droit à la réparation. Vous pouvez aider en :
- Discutant avec votre députée ou député local du droit à la réparation, de ses répercussions sur les entreprises et les consommatrices et les consommateurs canadiens, et de l’urgence de la mise en place d’un cadre législatif.
- Partageant notre message sur les réseaux sociaux en utilisant le #DroitàLaRéparationCA
En savoir plus sur les ressources disponibles pour défendre le droit à la réparation.
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